Au bord de l'abstrait

Publié le 19 Février 2010

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« (…) l’homme s’effacerait, comme à la limite de la mer un visage de sable » (Foucault, Les mots et les choses)

Photos : JLJ

Rédigé par immarcescible

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F
<br /> Bel effet de perte d'équilibre, dans cette progression vers la présence humaine. Est-ce la conscience que les nuages font s'évanouir après que la mer ait englouti (dans un irréel dont on se demande<br /> ce qu'il exprime, sinon le regret que l'humanisme suscite dans la prose foucaltienne)l'effigie de la face humaine ?<br /> <br /> <br />
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