Publié le 10 Mai 2013

Ni le Ponte Vecchio que l’imaginaire florissant du narrateur de la Recherche encombre au printemps « de jonquilles, de narcisses et d’anémones », ni le pont Saint-Isaac enjambant la Neva dans les eaux poissonneuses de laquelle Ivan Yakovlévitch, barbier...

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Rédigé par immarcescible

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